À la ménopause, on a encore droit au plaisir

On ne le dit jamais assez : la ménopause n’enlève pas le droit au plaisir.
Pourtant, quand on traverse la sécheresse intime, c’est difficile de le croire.

Je m’appelle Claire, j’ai 52 ans.
J’ai envie de partager mon histoire, parce que je sais que beaucoup de femmes vivent ça en silence, comme je l’ai vécu.

Quand mon corps a commencé à dire “non”

Au début, je ne voulais pas l’admettre. Les bouffées de chaleur, je m’y attendais. Mais ce qui m’a bouleversée, c’est quand chaque moment intime avec mon mari est devenu douloureux.
Une brûlure, un tiraillement, une gêne impossible à ignorer.

Alors j’ai commencé à trouver des excuses : “Pas ce soir, je suis fatiguée…”
Petit à petit, les câlins sont devenus rares, puis les baisers aussi. Je voyais bien dans ses yeux l’incompréhension et la tristesse.

Ce n’était pas seulement physique. C’était ma confiance de femme qui partait en morceaux.
Je me demandais : “Est-ce que c’est fini pour moi ? Est-ce que je vais devoir vivre sans désir ?”

Les solutions qui ne suffisaient pas

Comme beaucoup, j’ai essayé des gels, des crèmes, des lubrifiants. Un petit soulagement parfois, mais qui ne durait pas.
Je refusais les hormones : je ne voulais pas remplir mon corps de chimie.

Alors j’ai baissé les bras. Je me suis dit : “Voilà, c’est la ménopause, il faut accepter.”
Mais au fond de moi, je n’arrivais pas à me résigner.

Le jour où j’ai décidé d’essayer autrement

Un soir, en cherchant des témoignages sur internet, je suis tombée sur l’intervention d’une médecin spécialisée en santé féminine.
Elle parlait d’une huile naturelle à base de CBD pressée à froid, utilisée par des femmes ménopausées.

Elle expliquait que, dans ses observations, la majorité retrouvait du confort au bout de quelques semaines.

C’est ce ton simple et rassurant qui m’a convaincue de tenter.

Mon expérience, semaine après semaine

Semaine 1 : Dès les premiers jours, j’ai senti que mon corps se relâchait. Moins de crispations, un apaisement subtil. Ça m’a redonné espoir.

Semaine 2 : L’inconfort diminuait. La sécheresse s’atténuait vraiment. Les moments intimes redevenaient possibles, sans peur immédiate de douleur.

Semaine 3 : Ce fut un déclic. Pour la première fois depuis longtemps, j’ai eu un rapport sans douleur. J’ai pleuré dans les bras de mon mari, de soulagement et de joie. J’ai senti que mon corps pouvait encore me donner du plaisir.

Semaine 4 : Le désir est revenu. Pas un désir forcé, mais une vraie envie. Avec lui, la complicité, les rires, la tendresse. Comme si nous retrouvions une partie de notre couple perdue.

Ce que j’ai découvert

La ménopause n’est pas une fin.
On a encore droit :

  • à l’intimité,
  • au plaisir,
  • à la complicité,
  • à se sentir femme et désirée.

Ce que j’ai vécu m’a appris qu’il existe des solutions naturelles, douces et sérieuses. Et que oui, on peut revivre une intimité épanouie, même après 50 ans.

Pourquoi je témoigne

Parce que je sais à quel point c’est difficile d’oser en parler.
Parce que je me suis sentie seule, et je ne veux pas que d’autres femmes se sentent comme moi.
Et parce que je crois profondément qu’on mérite toutes de vivre la ménopause avec sérénité et confiance.

“Pour celles qui se reconnaissent dans mon parcours, je laisse le lien vers ce qui m’a vraiment aidée”

www.biocalma.fr

6 thoughts on “À la ménopause, on a encore droit au plaisir”

  1. Merci pour ce témoignage, ça me fait un bien fou de lire que je ne suis pas seule. On devrait en parler beaucoup plus entre femmes.

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  2. Merci Claire d’avoir osé partager ton histoire. C’est rassurant de voir qu’on peut encore retrouver plaisir et complicité à la ménopause.

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  3. Oui j’ai vu qu’il faisait partie d’une étude scientifique pour les femmes souffrant de douleurs intimes, je sais plus le nom mais j’ai vu sur leur Instagram. En tout cas super qu’il existe des solutions naturelles pour nous !

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